• Couverture L'Épée de vérité, tome 01 : La première leçon du sorcier
     
     


    Résumé:

    Jusqu’à ce que Richard Cypher sauve cette belle inconnue des griffes de ses poursuivants, il vivait paisiblement dans la forêt. Elle ne consent à lui dire que son nom : Kahlan. Mais lui sait déjà, au premier regard, qu’il ne pourra plus la quitter. Car désormais, le danger rôde en Hartland. Des créatures monstrueuses suivent les pas de l’étrangère. Seul Zedd, son ami le vieil ermite, peut lui venir en aide… en bouleversant son destin. Richard devra porter l’Épée de Vérité et s’opposer aux forces de Darken Rahl, le mage dictateur. Ainsi commence une extraordinaire quête à travers les ténèbres. Au nom de l’amour. A n’importe quel prix.


     
    Mon avis: J'ai lu ce livre dans le cadre de LIVRA'DEUX POUR PAL'ADDICT avec Delph et Lebbmony.
    Delph devait lire ''Seul le silence'' de R.J. Ellory et Lebbmony ''Le chuchoteur'' de Donato Carrisi.
     
    Comme toute amatrice de fantasy, j'avais beaucoup entendu parlé de la saga de l'épée de verité de Terry Goodkind. Alors dès que j'ai reçu un bon, je me suis jetée sur l'occasion pour acheter des grands formats dont l'épée de verité. Et hop, deux mois plus tard Lebbmony me le proposait pour le challenge de Livraddict. Comme quoi ^^
     
    J'ai beaucoup aimé ma lecture. Le monde est très bien construit: les Terres d'Ouest, les Terres du Milieu, les Terres d'Hara, toutes séparées par des frontières impénétrables. Des sorciers, des inquisitrices, des bêtes monstrueuses qui surviennent à la nuit tombée et le retour du petit-fils de Pannis Rahl, qui avait des années auparavant dévasté le monde.
     
    Richard se retrouve propulsé dans un rôle qu'il n'a jamais voulu: être le Sourcier. Du jour au lendemain, l'aventure le saisit et lui donne au passage le titre de Sourcier ainsi que la fameuse épée de vérité. D'inconnu vivant dans lombre de son frère, Richard est maintenant le seul qui peut faire la différence face à Darken Rahl.
    J'ai apprécié ses réactions qui n'étaient pas démesurées selon moi. Il a peur, éprouve de la colère, doute, va de l'avant. Toute la panelle des émotions passent face aux épreuves qu'il va endurer et toujours à propos. Très loin de ce cliché du beau mec musclé impétueux de la série. No comment.
     
    Kahlan m'a beaucoup plue car elle joue un rôle très difficile, très important et puissant, mais dans un sens, elle reste très fragile. Cela peut paraître contradictoire, toutefois,, Goodkind a réussi à nous présenter un personnage très humain. Elle peut paraître toute puissante mais derrière cette façade, il y a un être humain qui souffre comme les autres. Peut-être même plus.
     
    Il y a ensuite Zedd, un personnage que j'ai tout simplement adoré. Un sorcier à la personnalité complexe et tellement hilarante. Il est très expensif et roule son petit monde dans la farine. Ses réparties sont inimitables et son comportement douteux très loin également du rôle sérieux que beaucoup lui prête. Oh, il peut l'être sérieux, mais seulement quand il le faut!
     
    En bref, des personnages attachants, qui évoluent dans un monde où tout n'est pas révélé à la 1ère page. Un monde en fantasy est complexe, et dans ce livre, le lecteur n'est pas propulsé dans des explications pendant 50 pages pour comprendre où il évolue. Ici, les explications, toujours fournies à Richard qui ne s'y connaît pas plus que nous, sont essaimées durant tout le roman. On a le temps de les digérer avant que de nouvelles arrivent. C'était agréable.
     
    Le rythme était de son côté assez bon. J'ai trouvé toutefois deux longueurs, chez le Peuple d'Adobe et ensuite quand Richard... souffre disons, mais à part ces moments, je ne me suis pas du tout ennuyée sur les env. 680-700 pages que faisait ce 1er tome.
     
    Du négatif: comme je le disais, deux-trois longueurs, peut-être une qualité de texte qui m'a paru un peu simplistes sur quelques dialogues, mais rien de bien grave.
     
    J'en retiens des personnages attachants, une bonne intrigue et un monde bien construit. Sans hésiter, je continue avec la suite!

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    Résumé:

    Au Royaume de Lur, une immense barrière magique protège les habitants des ravages du sorcier Morg depuis six cents ans. Les Doranens gouvernent le royaume grâce à la magie tandis que les Olkens ont interdiction absolue de l'utiliser... sous peine de mort. Le jeune Asher a quitté sa famille de pêcheurs pour faire fortune à Dorana, la capitale. Très vite, il devient l'assistant du Prince Gar et apprend la vie de château. Ses origines modestes et sa gouaille lui valent l'inimitié de bon nombre de nobles à la cour. Mais dans l'ombre, on veille sur lui : une confrérie secrète attend l'avènement d'un mage innocent qui sauvera Lur des Derniers Jours. En attendant, Asher a bien du mal à éviter les pièges que lui tend, jour après jour, l'entourage de la famille royale...
     





    Mon avis: Je lis ce livre dans le cadre de ''Livra'deux pour Pal'Addict'' sur Livraddict! Cliquez sur la bannière pour en savoir plus
    http://img19.imageshack.us/img19/7835/challenge3.png
     
    C'est Cline612 qui m'a choisi ce livre, parmi un choix de trois livres sortis de ma PAL! ICI.
    Ce livre, je l'avais à la base acheté en anglais et j'en avais lu à peu près la moitié. Le problème, c'est que je le lisais trèèès lentement, car malgré tout, le vocabulaire n'était pas facile. Donc je me suis dit que je pourais lire déjà le tome 1 en Français pour avoir de bonnes bases pour la suite!
     
    Donc c'est avec grand plaisir que j'ai commencé cette lecture et que je l'ai terminée.
     
    Avec Karen Miller, on entre dans un monde à part. L'auteure a réussi à créer son propre univers avec les Olkens et les Doranens, la magie interdite et salvatrice, un mur mystèrieux qui cache l'horreur, un passé douloureux et une Histoire chaotique.
    Dans ce monde, juste et injuste à la fois, évolue notre héros Asher. Bon, j'ai déjà eu un coup de coeur pour le nom! Bref... Asher débarque donc à la capitale et sans trop comprendre comment, se retrouve au plus près du prince Gar et de la famille royale.
    Ce jeune pêcheur va entrer dans un monde qui lui est totalement étranger. Au service du prince Gar, il va découvrir le pouvoir, les trahisons et le rôle de médiateur. Son côté très humain lui permettra d'être proche de la population tout en évoluant avec adresse parmi la famille royale. Son amitié avec Gar est touchante, très vraie!
    Ce dernier est le mouton noire de la famille, car il est né sans pouvoir. Et pour un Doranen, qui plus est un Doranen royal, c'est une honte! Il a donc grandi dans un climat tendu, essayant par tous les moyens de trouver sa place et de rendre sa famille fière de lui. Sa rencontre avec Asher est donc plus que bienvenue. Car ce dernier est dénué de tout jugement préétabli. Il est droit et honnête. Franc. Tout ce que Gar a besoin. Les deux vont s'assembler comme les deux pièces d'un puzzle.
     
    Mais loin de ces histoires de famille, il y a celle qui porte l'histoire de ce monde. Pour ceux qui n'ont pas lu le livre, je n'en dirais pas beaucoup plus. Sachez seulement que la famille royale a le rôle de protèger la population de ce qui se trouve derrière le mur... Un mur magique... Un mur qui cache Morg qui, depuis des siècles, n'attend qu'une seule chose: revenir et les détruire une bonne fois pour toute!
    Du côté de Dorana, un ''Cercle'' secret évolue également depuis des siècles dans l'attente de l'avènement de la prophétie. Les derniers jours sont proches et Daphné et Matt sont là pour guider celui qui les sauvera... ou les mènera à leur perte.
    J'ai beaucoup apprécié ces deux personnages, qui doivent rester cacher. Et qui ne peuvent révéler à Asher ce qu'ils sont vraiment. Cela concerne particulièrement Daphné qui développe des sentiments pour Asher. Mais son rôle à elle, dans la prophétie, ne lui permet pas de tomber amoureuse de celui qu'elle doit guider en secret. Ainsi, elle se blinde derrière une paroi de glace pour ne laisser passer aucune émotion. Il n'est pas facile de la voir résister autant, au nom du devoir. Dans un sens, cela m'a beaucoup touchée. Et face à la froideur de Daphné, nous avons notre cher Matt, amoureux des chevaux, un homme au grand coeur qui ne sait pas comment réagir, entre son devoir envers la prophétie et ses sentiments pour Asher. Cette dualité est très présente dans le récit.
     
    Je ne veux pas trop en dire sur l'univers du livre lui-même. Ce serait d'une part trop long à expliquer, et d'autre part, cela gâcherait le plaisir de la découverte. Tout ce que je dirais, c'est que j'ai beaucoup apprécié évoluer dans ce monde. Son Histoire m'a interpelée et je me réjouis d'en découvrir plus. Karen Miller pourrait écrire bien des duologies ou trilogies dans ce monde pour en faire le tour!
     
    La seule chose qui m'ait dérangé, dans ce livre, ce sont les tensions au niveau du pouvoir: entre Gar et sa soeur Fane, entre la famille royale et Jarralt qui jalouse leur règne... Je n'ai, en général, jamais apprécié les histoires se déroulant dans un lieu ''haut placé - royal'' où trahisons, complots et jalousies sont au premier plan. Là, j'apprécie encore mais c'est la limite de ce que je peux aimer. Plus de tensions entre les personnages auraient été trop pour moi.
     
    En résumé: des personnages attachants, un univers bien construit et riche, une prophétie mystérieuse, une intrigue bien ficelée et.... je n'en ai pas parlé, mais une fin.......................
    Vivemement ce tome 2 qui risque de posséder plus d'actions et de péripéties!!
     
     
    Petite précision: c'est une duologie! Avec d'autres cycles pour ceux que ça intéresse.
     
     
    Ce livre rentre aussi dans:

    http://readingmarmotte.files.wordpress.com/2012/05/plage-2.png?w=500

     

     

    http://1.bp.blogspot.com/-Z7a6UKfb_tg/TsOpEYrEg9I/AAAAAAAAAKM/WQA3KalfxLk/s1600/pil+rouge.jpg


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  • La légende de Drizzt T1; Terre natale - R.A. Salvatore - Milady

     

    Résumé: Drizzt est un elfe noir, un drow, né en Outreterre, un monde souterrain où abondent les créatures maléfiques et où le pouvoir s'obtient par la guerre ou le meurtre. L'honneur, l'amitié, l'amour n'y ont pas leur place. Drizzt y fait le rude apprentissage d'une vie de servitude au sein d'une société où chaque maison est dirigée par une matrone. Bien qu'il ait été élevé dans un système de valeurs totalement perverti et qu'il soit rompu à l'art du combat, Drizzt prend peu à peu conscience qu'il n'est pas comme les autres drows. Il aspire à une vie différente et refuse de devenir un assassin au service de sa maison. Mais il sait que, s'il veut survivre, il doit dissimuler et peut-être nier sa véritable nature. Jusqu'au jour où cela ne suffira plus. Et ce jour-là, Drizzt devra se battre seul contre tous.

     

    Mon avis: Je pense que si je n'avais pas commandé ce livre pour qu'un proche le lise, je ne l'aurai pas parcouru moi-même. Je n'avais jamais lu de Milady et rien que l'idée de m'aventurer dans une longue série me décourageait d'avance. Tant pis, je me suis lancée!

    Avec Drizzt, nous découvrons un monde peint en noir, dans le noir, des personnages noirs, un habitat noir. Tout ceci au sens propre comme au figuré.

    Drizzt est un elfe noir et elevé en tant que tel. Dès son plus jeune âge, il est formé à haïr tant les êtres de la surface que son propre voisin, à se battre, à exceller et surtout, le plus important de tout, à devenir meilleur que les autres tout en adorant la déesse araignée. Dans ce monde fermé, Drizzt grandira et perdra son innocence.

    La découverte et la réalité de sa vie lui apparaîtront petit à petit... la question est la suivante: s'adaptera-t-il? Et dans le cas contraire, fera-t-il comme Zak ou luttera-t-il?

    Ce 1er tome pose les bases de ce que sera la suite. Nous y découvrons le personnage de Drizzt tel qu'il nous apparaîtra certainement dans les prochains tomes.

    J'avoue à avoir eu du mal au début car je ne voyais pas le fil conducteur de l'histoire. J'avais au contraire l'impression qu'il n'y en avait pas. Mais je pris patience et sans que je m'en rende compte, j'ai finalement été complètement prise par Salvatore. La qualité du texte m'a dès le début énormément plu (chez Milady, nouvelle traduction) et une fois que l'histoire a démarré, j'ai eu de la peine à m'arrêter.

    J'ai vraiment apprécié le personnage de Drizzt. Innoncent et chaleureux, mais aussi naïf et hésitant. Il caractérise bien la personne qui grandit et découvre la réalité de la vie. C'est l'enfant qui veut s'accrocher à son petit monde mais qui, pour vivre, n'a pas le choix. Il doit ouvrir les yeux et aller de l'avant. Malheureusement, cet avant n'est peut-être pas un monde pour lui.

    En résumé: peut-être pas un coup de coeur, mais assurément une merveilleuse démonstration de fantasy à l'état pur. La suite m'attend au pied du lit.

     

     

     

    Couverture La Légende de Drizzt (Comics), tome 1 : Terre Natale

     

    Salvatore existe aussi en BD.

    Tout d'abord, j'ai été assez rebutée par les dessins, entièrement faits à l'ordinateur. Je ne les trouvais vraiment pas beaux mais au bout d'un moment, je me suis habituée. Et puis Guenhwyvar était fidèle à l'image que je m'étais faite d'elle! Je la trouve tout simplement magnifique.

    Concernant la BD, je pense sincèrement que si je n'avais pas déjà lu le livre avant, j'aurais eu de la peine à m'en sortir. En effet, elle est le résumé du livre. Alors certes, elle est très bien faite. Les éléments principaux y sont et vu l'épaisseur du livre, j'ai trouvé la démarche assez bien réussie. Mais il y avait beaucoup de détails qui aidaient à comprendre Menzoberranzan mais qui n'apparaissent pas ici.

    Pour ma part, je dirais que la BD est excellente pour des personnes qui, comme moi, veulent se rafraîchir la mémoire!

     

     

    Ce premier tome des aventures de Drizzt a été lu en lecture commune avec deux autres personnes:

     Kincaid40

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    ainsi que de Falline, qui poste donc son billet sur mon blog:

     

    "La légende de Drizzt" est une série de fantasy éditée chez Milady, il y a quelques années déjà. J'avais eu l'occasion de la croiser sans jamais m'y arrêter : la proposition de lecture commune de Samlor m'a permis d'enfin découvrir ce très riche univers :

    Tout le monde connait les elfes, au moins de nom, mais qui connait les elfes noirs? Salvatore met un place tout un univers souterrain autour de ce peuple violent, cruel et agressif. Notre héros, Drizzt, est un elfe noir mais il a d'autres idéaux et un sens certain de l'honneur : il ne ne sent pas à sa place dans la ville de Menzoberranzan où vit son clan. Ce premier roman met en place le monde natal de Drizzt et nous en explique les codes. Il nous explique aussi comment le jeune elfe noir a été élevé et comment il a pu survivre à sa famille. D'une certaine façon l'aventure commence à la fin de ce premier roman et l'envie de lire la suite me démange déjà!!!!!
    J'ai trouvé le roman très bien construit, alternant heureusement action et explications, sans temps mort ni blabla. L'univers et sa mythologie est cohérent et s'intègre parfaitement à ce que chacun sait des elfes, des gobelins, des nains...
    Une tres bonne découverte donc et vivement la suite.'' Par Falline



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